samedi 21 avril 2012

Trois solutions pour répondre (partiellement) à la crise


Pour mon deuxième article (oui, je n'écris pas au tant que je le souhaite), j'ai décidé de vous partager un texte que j'ai écris pour mes études. Il fallait donner son avis sur une rédaction écrite par des scientifiques souhaitant réformer tout le système pour répondre à la crise actuel, l'original est disponible en cliquant ici. Comme vous pouvez le constater, ce texte est assez utopiste et j'ai donc préféré de mon coter proposer trois solutions, tout aussi idéaliste, pour répondre aux besoins finaux du récit sans avoir à tout réformer. A vous de juger!


Chaque chose a le mérite d’être dit. Et parfois croire et partager son utopie permet de faire avancer certaines choses. Ce texte est purement idéaliste : celle de croire que l’Homme préférerait stagner et limiter ses progrès pour préférer donner une meilleure vie à ses descendants. Mais, peut-on changer notre mode de vie et l’améliorer sans avoir à tout réformer ? Je vais proposer trois solutions pour trois sujets du texte : les énergies renouvelables, les transports en commun et l’économie.

Si on obligeait les différentes compagnies pétrolières d’investir massivement dans le secteur des énergies renouvelables au lieu d’en faire un ennemi? Oui, car on sait tous que ces compagnies font des bénéfices phénoménaux. Cela permettrait d’avancer de façon considérable dans les recherches du secteur et surtout permettre aux entreprises incriminées de rester compétitives quand les réserves de pétroles  seront épuisées. Mais le fait que ces entreprises possèdent pas mal de fond pourrait mettre à mal les entreprises qui travaillent déjà dans ce domaine, et donc cela va permettre une baisse des prix considérables et profitera donc aux consommateurs.

Pour les transports en commun, les efforts des différentes administrations (qu’elles soient nationales, régionales, départementales ou locales) doivent être amplifiés. Il faudrait mettre en place un système permettant de réduire considérablement l’abonnement aux différents moyens de transport et les uniformiser avec un abonnement unique permettant de prendre le train et le bus avec une seule carte. L’argent permettant de réduire les abonnements proviendrait des taxes sur l’essence. Cette baisse des coûts des transports aurait comme bénéfice de baisser le chômage en employant des chauffeurs et d’augmenter le pouvoir d’achat de toute la population préférant utiliser ce genre de déplacement.

Favoriser la location pour permettre au foyer les plus modestes de profiter des dernières innovations technologiques et leur permettre d’éviter d’emprunter à des banques pour ainsi baisser le nombre de plus en plus important de foyer trop endetter. On pourrait faciliter cette pratique en supprimant toutes taxes sur ce secteur d’activité pour les clients de ces entreprises, qui seraient les foyers vivant au seuil de pauvreté et les ménagères vivant avec un salaire défini par une commission se réunissant tous les semestres pour évaluer la situation économique du moment. Cette pratique ne baissera pas les achats. Les autres ne pouvant jouir de l’exonération des taxes ne verraient aucun intérêt d’emprunter car les prix ne seraient pas compétitifs. Et de plus la croissance augmentera car les entreprises de locations achèteront plus pour pouvoir proposer un maximum de produit à leur client. Et ceux ne louant pas continueront d’acheter.

Voilà trois solutions permettant de répondre aux attentes du texte sans savoir à tout réformer brutalement et rester sur l’économie de croissance. Bien sûr mes idées et leurs conséquences sont tout aussi utopistes, mais pourquoi ne pas y croire ?

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